« Mort aux vaches ! »

Je ne partage pas vos idées mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous puissiez les exprimer (Voltaire)

 

Le jura Libertaire et indimédya Grenoble viennent d’être l’objet d’une plainte de ce Ministre irréprochable, Brice Hortefeux…

Bien que ne partageant pas les outrances de ces blogs, pas plus que l’humour douteux des poulets de Loué, mais épris de justice et de liberté, j’en appelle à tout ce que la blogosphère compte de blogueurs (et gueuses) libres pour défendre ce qui me semble être une nouvelle étape d’une guerre méthodique à la liberté d’expression… dont le limogeage de Porte et Guillon n’a été qu’une étape.

A quand notre tour ?

Il n’est pas inutile de rappeler qu’il y a peu, Brassens pouvait encore se le permettre…. Devrions nous donc accepter indéfiniment la régression sociale, et la répression de nos libertés fondamentales ?


Contribuons par notre action à préserver ce qui nous est si cher, et dont nous pourrions bien être privés demain…

 

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6 réflexions sur “« Mort aux vaches ! »

  1. Pauvre GdeC, pauvre Pierrot, comme disait Léo Ferré, regarde la lune blafarde qui te cafarde.

    Tu vois, le problème avec les libertaires, c’est qu’il en faut toujours un, quand il y en a un, il n’y a pas de problème, c’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes.
    [si j’ai recopié un texte connu sans guillemets et s’il est sous copyright, on voudra bien me le pardonner]

    Pour Stéphane Guillon,
    regarde un peu ici

    http://homeopathik.wordpress.com/2010/06/22/au-theatre-ce-soir/

    dans les commentaires.

    Et reviens défendre le service public. Mission impossible.

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  2. @lou : pauvre, moi ? Non…. « je suis riche des biens dont je sais me passer ». Et du contenu de mes blogs.

    @DPM : merci pour l’info. j’avais essayé hier et il était fermé. Quand aux anar, je partage la philosophie, mais je dis qu’elle est inapplicable : Tout le monde n’est pas apte à diriger seul sa vie.

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  3. Les ‘poulets’ en cage sont dans le film ‘La Belle américaine’ de Robert Dhéry, à 1 h 31′ 30″.
    Robert Dhéry n’a jamais eu aucun problème avec des censeurs.

    Autre temps, autres moeurs.

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