La connerie au pouvoir: « les vétérinaires pour remplacer les médecins »
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Françoise Tenenbaum, socialiste, adjointe au maire de Dijon, déléguée à la Santé, propose de faire intervenir les vétérinaires dans les zones rurales qui manquent de médecins.
Cette idée est parue dans le quotidien « Les Echos », et le journal « le bien public » de la côte d’Or (http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2011/12/13/des-medecins-pas-si-betes). Nous citons : « J’ai effectivement eu cette idée étonnante », confirme l’adjointe au maire socialiste de Dijon, déléguée à la Santé. « Pourquoi ne pas faire appel aux vétérinaires ? Ce sont de parfaits médecins qui connaissent l’anatomie et l’usage des médicaments. »
La folie est désormais au pouvoir ! Nous en avions des symptômes avec la destruction du service public hospitalier, désormais nous arrivons au néant avec des idées comme celle de cette élue socialiste.
L’AMUF tient à assurer au peuple de France et aux journalistes qu’un être humain ne se soigne pas comme un animal, que l’anatomie d’une vache n’est pas la même que celle d’un homme, et qu’accoucher une femme n’est pas la même chose qu’avec un animal. Chacun son métier !!
Que maintenant les instances de l’Ordre des médecins et de l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne ne soient pas « contre l’idée de travailler sur le sujet « de remplacer les médecins urgentistes et les médecins de la permanence de soins de nuit par des vétérinaires, est totalement délirant ! Pour reprendre la phrase du général De Gaule: nous ne sommes toujours pas des veaux!
Nous demandons à Martine Aubry de nous recevoir pour abandonner cette idée socialiste et au Ministre de la Santé, Xavier Bertrand, de nous assurer que ce projet abject, irresponsable, régressif et stupide soit abandonné.
Dans l’histoire de notre syndicat (l’AMUF), en dix ans, nous n’avons jamais vu de telles idées pour démolir la santé en France. Nous ne pensions pas devoir nous battre sur des idées aussi débiles.
Paris, le 14/12/2011
Patrick PELLOUX, président AMUF
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Trop drôle. J’ai tweeté et j’ai fait un billet aussi.
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@l’Hérétique : je sais, j’ai vu… Mais pourquoi t’obstiner à m’appeeler Tovaritch ? J’ai Horreur qu’on me nomme camarade !
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Pour qu’on connaisse la liaison entre moi et mon pseudo: mon billet posté chez l’hérétique
Avec cette idée loufoque demain on va demander au architecte de monter un mur droit et à nos maçons de concevoir un pont.
Cette élue et quelque soit son bord politique prouve sa méconnaissance du monde dans lequel nous vivons.
Je pense qu’elle est du genre nous n’avons pas d’argent , faisons un crédit et ensuite pour rembourser le crédit augmentons les impôts.
Certainement les électeurs qui ont voté pour elle aux cantonales et qui depuis la traite de vache l’ont persuadé d’aller d’aller voire le vétérinaire du coin.
Notre vétérinaire spécialiste des éléphants
« Lui tint à peu près ce langage :
Hé ! bonjour, Madame la conseillère
Que vous êtes jolie ! que vous me semblez belle !
Sans mentir, si votre raisonnement
Se rapporte à votre incapacité,
Vous êtes le Phénix des politiques.
Elle ouvre sa grande gueule, laisse tomber son verdict.
Les français pourvoient aux dépenses de ceux qu’ils ont écoutés
Ces derniers honteux et confus,
Jurèrent, mais un peu tard, qu’on ne les y prendrait plus. «
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@gauchedecombat
L’hérétique, je pense, et c’est mon simple avis, s’évertue à t’appeler Tovaritch parce qu’il estime que ton combat est le sien et que son combat rejoint le tien : les méthodes diffèrent, l’objectif est identique mais surtout le respect est mutuel. Disons que Camarade signifie de même bord et Tovaritch signifie la même chose mais de bord différent…
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C’est un canular ?
Les ânes braient, le carnaval (des animaux), continu allègrement à se foutre de la gueule de ceux que l’on prend (qui sont) des veaux…
Meuh, meuh à tous !
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Tout de suite on voit poindre un « remerde de cheval » pou la fRance qui vêle!!!
S.
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On notera que, dans une optique proche, not’cher gouvernement considère que pour éduquer les enfants, le curé est bien plus utile que l’instituteur. J’ai eu l’occasion autrefois de lire des journaux « pour enfants » comme « L’Ouvrier », d’il y a un siècle : les hussards noirs de la République étaient systématiquement traités d’aliborons. La démarche est similaire. La presse « bien-pensante » de l’époque avait les mêmes cibles, peu de temps après la séparation des églises et de l’État.
Ec l’Inf, signait Voltaire. Il n’avait pas tort.
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