Il y a des sujets comme celui-ci qui font plus pour l’échec ou la réussite d’un candidat que bien des thèmes politiques fondamentaux dits plus nobles. Ainsi, les prix à la pompe, qui ont atteint cette année des reccords, peuvent créer un tel mécontentement populaire qu’ils pourraient faire chuter tout candidat qui ne se soucierait pas de ce genre de détails.
Détails qui en sont d’ailleurs de moins en moins un pour un grand nombre d’entre nous. Car la vie devient chère, et les politiques ne semblent pas s’en apercevoir, puisque cela n’apparait nullement dans leurs discours, pour la plupart. Et ce n’est pas la dernière augmentation de TVA, qui pénalise les plus modestes d’entre nous, qui me contredira.
Faire gagner la gauche passer aussi par des actions visibles à ce niveau. Le retour du système de taxe flottante sur les produtis pétroliers pourrait être ainsi un bon levier pour toucher l’opinion. Arrêtons les beaux discours et passons aux acttes, intéressons nous aux préoccupations même (et surtout) les plus basiques des français pour les atteindre et gagner leurs voix. C’est aussi ça lutter contre le front national, ne vous en déplaise, Messieurs les pédants.
Journal d'un #antifa (parmi d'autres) 
Mais Boorlo n’ambitionne pas de se retrouver au second tour, ce n’est pas vrai.Il souhaite peser de tout son poids pour réunir des suffrages distincts de ceux qui aimantent l’UMP à l’extrême-droite (Droite populaire).Sarkozy au second tour serait obligé d’en tenir compte surtout si Boorlo fait un score potable et devrait sans doute davantage tenir compte des idées libérales, démocrates-chrétiennes, radicales et centristes qu’il ne le fait aujourd’hui, obnubilé par le populisme de la Droite populaire.
J’aimeJ’aime